• Bon. Je vous explique. Je viens de blogroller deux blogs (ça, pas deux autruches c'est malin).

    Je les ai blogrollé parce que je les aime bien.

    Si-si, je vous assure.

    Passons.

    Toujours est-il que ça s'affiche pas comme je voudrais. Comment ça, vous aviez remarqué??

    Alors voilà, si une bonne âme pouvait avoir la gentillesse de me guider pour que ce foutu machin ait enfin l'allure qui me convient, histoire que je passe pas pour une éternelle cruche...


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  • J'ai un cerveau au fond des chaussettes.
    Le mien, de cerveau.
    Autant dire que là il me sert pas à grand-chose...

    Promis, je reviens dès qu'il a regagné ses pénates!


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  • Définitivement. Passionnément.

    Mon Amour, j'aime tes fesses.

    J'aime les regarder.
    Les embrasser.
    Les mordre.
    Les effleurer, les caresser.
    Les empoigner avec volupté.
    Les pétrir possessivement.

    J'aime  les emprisonner dans mes mains grandes ouvertes pour te coller à moi davantage encore.

    J'aime leur sursaut quand je les égratigne ou trouve un point particulièrement sensible.

    J'aime les répercussions de ces caresses sur ton sexe.

    J'aime sentir les muscles de tes fesses rouler, se contracter, onduler sous mes mains, sentir la puissance de leurs contractions accompagner celle de tes coups de reins.

    J'aime quand de coups de reins en coups de reins tu accentues ta cambrure afin d'obtenir de mes mains une caresse plus intime.
    Et quand, une fois trouvée, tes fesses, ton sexe, ta respiration, ton corps tout entier perdent contrôle et patience, quand la puissance se fait démesure et le plaisir infiniment aigu et bestial.

    Puis les effleurer, tendrement, jusqu'au dernier tressaillement, répercuté au plus profond de moi...

    Merci Mon Amour


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  • J'attends Mon Amour. Impatiente la Juju. Plus que vingt petites minutes... enfin, petites... Alors j'en profite pour vous dire pourquoi vous ne me verrez pas ce week-end. Oui je sais, pour le nombre de lecteurs que j'ai je pourrais m'en passer mais "ça ne se fait pas" (oui maman).

    La journée sera longue. Très longue. Parce que Schtroumpfette et Patachon ne vont chez leur papa que ce soir. Puis parce que ils dorment jamais tous les deux en même temps. Alors nous restons là, rongeant notre frein, réfrénant à grand peine des caresses trop précises. Et le désir grandit, intense, presque insoutenable.

    Nos ébats n'attendront pas notre retour à la maison... Je les devine à la sauvette, contre un mur ou une porte de garage, ou acrobatiques sur la banquette arrière de la Corsa...

    Ah! Le voici!

    A dimanche...


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  • "Charmante attention... Si-si, je vous assure, il fallait pas... Ah oui, j'adore ça moi les loukoums si-si-si!!!"

    Et c'est vrai. C'est bon ces trucs là. Seulement voilà... comme disait l'autre (?) "on est ce que l'on mange". Argh.

    Alors si quelqu'un est preneur... 


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